Post numéro 11, où l’on explore l’origine du « run » (au sens comics du terme) Vitriol. Seconde utilisation (mais pas mal retravaillé) d’un matériau ancien : un fragmant écrit voici un bon nombre d’années, après avoir lu Fight Club, même si je n’y vois guère d’influence de Palahniuk. A la limite, les pensées en inserts italiques me rappellent plutôt Stephen King…
Avec un jeu de mots assez foireux, en fait : « molosse à moelle ». J’ai osé, je n’aurais peut-être pas dû. Ceci dit, le chien en question sort un flingue et le pointe sur le gars par terre, on oublie vite…
L’accumulation de bières semble tout droit sorti d’un catalogue AmBev. Sans doute venais-je d’écrire un article sur le géant brassicole.
L’idée d’un homme aux deux bras gauches vient d’un autre texte ancien, où il s’agissait d’une femme. Tentative de me rapprocher, alors, de Bukowski. Allez comprendre.
La phrase sur la voiture qui passe là où nulle voiture ne passe : cela vient de quelque part, j’ai oublié la source, quelqu’un qui décrit sa vision d’une voiture garée là où nulle voiture ne passe jamais.
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