Post numéro 16, où la «couronne d’épines» se réfère évidemment à la figure du Christ, tandis que la complétion par les «fourrures» y mêle l’image de la Vénus de Sacher-Masoch.
Avec un essai de dialogue ordurier pour Messaline, plutôt une nouveauté pour ce personnage davantage feutré… et habitué à son propre commerce, ainsi qu’il est encore souligné dans ce 16e post.
La «gousse vénéneuse» fait de Messaline une figure vampirique, ce qui «colle» bien à l’image que j’en ai, peau blanche, longue colonne de cheveux noirs. Un danger mouvant, comme sa peau sous laquelle bougent des «choses» indéterminées, image classique des films de SF/horreur. Avatar sous-cutané, par exemple, d’un Tremors.
La cervelle de jaguar déchiquetée provient d’une citation de Lautréamont : «Chaque fois que j’ai lu Shakespeare, il m’a semblé que je déchiquète la cervelle d’un jaguar.»
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