Post numéro 37, où je reprends, sous une version légèrement modifiée mais en conservant une sonorité proche, mon expression « Waldorf Astoria du diable ». Où la matière première du « bâtiment Astoria » pétrit le sable avec les larmes de la famine et le sang de la peste. Et où l’on reconnaît deux des quatre cavaliers de l’Apocalypse : Pestilence, Guerre, Famine et Mort.