Posts Tagged ‘liz’

OFF036. Vision De Liz : La Mort En Cristaux Liquides

novembre 30, 2010

Post numéro 36, où, dès les premiers mots, j’avoue ma dette envers les Livres dont VOUS êtes le héros. La Sorcière des Neiges, en effet, est le titre d’un de ces classiques qui m’ont suivi toute mon enfance.

 

La « tête dans son globle » fait référence à la jaquette de ce livre interactif ainsi qu’au combat final du héros contre ladite sorcière. Je me souviens notamment des illustrations intérieures, particulièrement réussies.

 

Quant à la nutrition comme munition, pourquoi se nourrir sinon pour alimenter une machine en route vers sa propre extinction ?

OFF032. Vision De Liz : La Montée Des Scorpions

avril 6, 2010

Post numéro 32, quasiment une paraphrase du Scorpio Rising de Kenneth Anger…

OFF030. Vision De Liz : Embaumement De L’Enfance

avril 6, 2010

Post numéro 30, avec un lien évident (trop ?) entre éveil de la sexualité et du pouvoir magique. Ou, plus précisément, éveil de la capacité à engendrer, à reproduire soi ou l’autre, entendu comme apprentissage de la magie corporelle. Et d’une «spectralité» intrinsèque : être habitée par un corps étranger qui vit et se développe, comme être hantée par un ectoplasme qui peut s’expectorer. Mais qui, à l’inverse de l’enfant, réintègre son cocon…

OFF028. Vision De Liz : Deux Visages De Liz

janvier 6, 2010

Post numéro 28, où j’utilise cette information lue quelque part que, sur tous les candidats au suicide qui se jettent dans les chutes du Niagara, il y en a bien quatre ou cinq chaque année à en réchapper miraculeusement.

Le «toute autre» au lieu de «tout autre» n’est pas une coquille… pour un texte mêlant les ambiances hard-boiled et Méliès. Les deux visages de Liz, qui en change (presque) comme de chemise.

OFF026. Vision De Liz : On N’Attend Plus Que La Couleur Rouge

janvier 6, 2010

Post numéro 26, où je fais d’emblée référence à «Carrie au bal du diable», de King, en parlant de Liz. Histoire de parler, de manière détournée, de ses dons extracorporels… La suite évoque un autre roman de Stephen King, «Salem». Pour finir sur une évocation du rouge, celui du liquide qui apparaît parfois lorsqu’on se mord la lèvre un peu trop profondément – et le texte se boucle sur son titre.

OFF023. Vision De Liz : Partage Des Hémisphères

novembre 24, 2009

Post numéro 23, court d’évidence, et peut-être, juste, cette évocation de l’ouverture du film Halloween, avec son petit garçon qui dézingue sa grande sœur à l’arme blanche, avec un visage impassible. Ici en version «haute couture», la grande mode de la chirurgie esthétique appliquée, avec un certain sens de l’extrême, à la vivisection.

OFF018. Vision De Liz

octobre 27, 2009

Post numéro 18, centré sur une phrase unique, un instantané, une image qui me hante depuis un bon moment. Celle d’une petite fille dans une cellule sombre, nette, bien habillée, lisse, une petite fille bien sous tous rapports mais dans une cellule souterraine, qui vous regarde fixement droit dans les yeux. Et l’on comprend à quel point elle est dangereuse. Et à quel point Liz a toujours été une enfant très spéciale…

OFF014. C’Est La Varicelle Des Morts

octobre 16, 2009

Post numéro 14, basé sur l’idée qu’un (futur) mort est emmené près d’un sol servant de lieu de Passage. Il se creuse lui-même un chemin à travers la couche peu épaisse de terre (plus tard dans le texte : «pellicule de création»), pour émerger de l’autre côté, en une sorte de vertigineuse doublier, à Khalaï, la cité-mausolée, sous un perpétuel crépuscule violet.

Ecole Mécanique De L’Armée : le nom de ce centre de torture militaire en Argentine évoque quelque chose de très basique (une école de mécanique), mais qui prend des accents terriblement inquiétants et menaçants selon l’Histoire. En outre, c’est l’«école» qui semble «mécanique», comme une usine à douleurs.

«Un jour on est vivant : la veille c’est de la fiction» : idée reprise (notamment, sans aucun doute) à Burroughs, pour qui le passé était forcément fictionnel. Une évidence.

«Pose du cadavre» : traduction d’un titre du groupe Unwound, Corpse Pose. Très bon morceau, très bon groupe bien qu’un peu inégal.

Les «champs de pavots inverses» reviendront à de multiples reprises dans 1000 morts, parfois sous une forme tronquée. 

Basé sur l’idée qu’un (futur) mort est emmené près d’un sol servant de lieu de Passage. Il se creuse lui-même un chemin à travers la couche peu épaisse de terre (plus tard dans le texte : «pellicule de création»), pour émerger de l’autre côté, en une sorte de vertigineuse doublier, à Khalaï, la cité-mausolée, sous un perpétuel crépuscule violet.

Ecole Mécanique De L’Armée : le nom de ce centre de torture militaire en Argentine évoque quelque chose de très basique (une école de mécanique), mais qui prend des accents terriblement inquiétants et menaçants selon l’Histoire. En outre, c’est l’«école» qui semble «mécanique», comme une usine à douleurs.

«Un jour on est vivant : la veille c’est de la fiction» : idée reprise (notamment, sans aucun doute) à Burroughs, pour qui le passé était forcément fictionnel. Une évidence.

«Pose du cadavre» : traduction d’un titre du groupe Unwound, Corpse Pose. Très bon morceau, très bon groupe bien qu’un peu inégal.

Les «champs de pavots inverses» reviendront à de multiples reprises dans 1000 morts, parfois sous une forme tronquée.

OFF008. Les Filaments De Liz

août 12, 2009

Post numéro 8, où l’on voit Liz en médium, en transe, déployer son ectoplasme. Aussi l’image du header du blog lui-même – du moins le premier header, que je prévois de changer un jour. L’idée est venue à la fois de cette photographie issue d’un recueil ‘Photography and the Occult’ et des séances supposées de spiritisme auxquelles se livraient les membres de la société de Thulé.

Avec aussi l’image de cette petite fille, habillée de noir, qui recueille la semence des hommes et est surnommée « la Petite Mort », une idée ancienne reprise ici. Le jeu des surnoms vient d’un film que je n’apprécie pas forcément pas plus que cela, « Les enfants du paradis », mais où je relève deux personnages : Chand d’habits, qui débite en permanence ses sobriquets, et Lacenaire l’assassin stylé.

L’image finale est issue d’Angel Heart, un film fondateur pour moi.