Post numéro 31, et reprise d’un texte plus ancien, issu, il me semble, de mes Satyres de la Colère-Serpent. Un corpus complet mais probablement bien peu lisible…
Un petit côté film noir, où les numéros de chambre, additionnés, donnent tous le même résultat : 6. Sauf erreur, une idée déjà appliquée dans un film de David Lynch où toutes les plaques minéralogiques offraient un identique résultat d’addition.
« Son dernier lien au sol » : cfr Le Poids de son regard de Tim Powers, où, pour faire face aux lamies, les combattants s’attachent une lanière à la cheville pour rester en contact avec la terre.
Pourquoi « la pétasse » ? Un ami m’a raconté que, dans les films de la Blaxploitation, tous les mecs sont des « négros » et toutes les nanas des « pétasses »…