Troisième post, et référence au paradoxe de Shannon, selon lequel un message parfaitement crypté serait indétectable dans le bruit de fond, par exemple dans les ondes « vides » d’une radio.
Apparition de Tim S. Glass, personnage proche de l’un des protagonistes des Cités de la Nuit écarlate de William S. Burroughs. C’est une sorte de détective privé qui enquête selon les techniques littéraires de WSB : cut-up, enregistreur audio, etc. Il pourrait faire un bon sujet de spin-off…
Le « formica de la table » est une reprise d’une de mes répliques fétiches du Twin Peaks de David Lynch, prononcée d’un air (forcément) étrange par le nain habillé de rouge, dans le monde noir.
La dynamique de ce post provient d’une vieille idée : les statues de dieu sont des dieux qui chantent ; si on se place devant elles et qu’on trouve la bonne fréquence alpha du cerveau, on doit pouvoir résonner à l’unisson et se projeter à l’intérieur de la statue, où les dieux vivent leurs aventures propres.
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